Revision pour un roman
Bonjour
J'ai besoin de révision pour un roman de 460 pages. Pourriez-vous m'indiquer votre tarif?
J'ai joint quelques pages afin que vous puissiez avoir une idée du style et de la qualité de l'écriture.
Prologue
Après l’avoir ramassée aux abords du boisé où elle tenait labeur d’être labourée, les deux policiers l’avaient traînée de force à l’hôpital. Pourtant, rien ne justifiait cette précipitation, car hormis au niveau de son orgueil, elle n’était nullement blessée.
Elle avait timidement amorcé son plaidoyer en arguant qu’ils n’avaient aucune preuve de ce qu’ils avançaient, qu’ils devaient immédiatement la relâcher, qu’ils n’avaient vraiment rien à lui reprocher. Comme seule réponse, ils l’avaient détaillée des pieds à la tête dans un mouvement qui n’avait manifestement pas été continu ni pour l’un, ni pour l’autre. Ayant remarqué leur petit manège, elle chercha à les confondre. L’habit ne fait pas le moine, avait-elle poursuivi pour essayer de s’en sortir, engoncée dans un corset qui la faisait souffrir. Ce proverbe ne réussissant qu’à provoquer l’hilarité des deux hommes et quelques commentaires grivois sur l’effet qu’elle faisait sur leur propre moine, elle avait alors décidé de mener l’attaque de front; comprenant qu’elle correspondait à tous les critères du stéréotype qu’elle tentait de réfuter et qu’elle ne parviendrait pas à les faire changer d’avis.
Dès lors, les implorant sans relâche de lui laisser une chance, elle leur avait affirmé qu’elle était nouvelle dans ce métier, qui lui, à l’opposé, était étiqueté comme le plus vieux du monde. Elle leur spécifia qu’elle devait s’y résoudre à contrecœur, et à contrecorps avait-elle pensé en prononçant le mot précédent, puisque son mari, de mauvais gré conscrit de cette foutue Deuxième Guerre mondiale, avait récemment élu sépulture en terre étrangère. Elle osa même leur promettre qu’on ne l’y reprendrait plus. Bien qu’ils n’interrompirent pas la femme, tout ce babillage importait peu aux membres des forces de l’ordre; ceux-ci ne faisaient qu’obéir aux strictes consignes de l’escouade des bonnes mœurs. Eux-mêmes auraient pu être accusés de contrevenir aux règles s’ils n’avaient pas ramené cette fille à la cuisse légère.
Cette manière d’opérer l’avait grandement surprise puisqu’elle n’avait jamais entendu parler d’eux auparavant; pourtant, entre consoeurs, on avait l’habitude de se prévenir, autant des abus de certains clients que de la venue des autorités. Elle se résigna à ne pas tenir rigueur aux autres paumées de la nuit après que le plus jeune rouage du duo lui eut révélé qu’elle était la première prise de leur nouveau quart de travail. Elle comprit qu’elle-même ne pourrait sonner l’alerte d’ici, dans le meilleur des cas, demain soir. La destination lui parut cependant étrange, mais valait mieux l’hôpital que le poste de police, à moins que cette première ne fût qu’une escale à la deuxième.
Anxieuse quant à cette perspective, en ultime recours, elle avait imaginé s’en sortir en leur offrant gratuitement ses attributs, mais ceux-ci y semblaient insensibles, impassibles. De plus raisonna-t-elle, si ces derniers avaient le moindrement eu l’idée de tirer plaisir d’elle, parce qu’il faut bien insister sur le fait de soutirer et aucunement de donner selon leur point de vue, sinon de leur position pour être plus exact, ils l’auraient fait en cachette dans les bois, et non pas dans les ruelles où ils s’évertuaient à protéger la vertu. Eut-elle risqué proposer cette échappatoire qu’elle se serait incriminée elle-même se résigna-t-elle à spéculer pour tenter de se justifier! Lasse d’essayer de se défendre, elle s’était tue jusqu’à la fin du trajet. Ces deux acolytes en avaient fait tout autant, ou aussi peu avait-elle pensé afin de marquer la précision. Ce mutisme ne l’avait pas calmé, puisque ses méninges avaient roulé à fond pendant la pause verbale. Parvenus à destination, les deux hommes avaient pris soin de l’immobiliser; il était hors de question qu’elle puisse s’enfuir. Par la suite, ils l’avaient salué bien bas en signe de dérision après qu’ils se fussent brièvement entretenus avec une garde-malade.
Assoupie, elle les avait presque oubliés depuis qu’ils étaient repartis à la chasse aux gueux. Ils ne lui revenaient en mémoire qu’au moment où ils franchissaient la porte de l’institut en compagnie d’une nouvelle prise. Dès lors, ils entamaient toujours le même manège, et cela sans manifester de considération pour ceux qu’ils avaient amenés auparavant. Ils n’étaient cependant pas réapparus depuis un bon bout de temps. Selon son jugement, la montée de blancheur du petit matin devait sûrement s’avérer le signal de suspension de leurs activités de ratissage; il aurait été de mauvais aloi de nettoyer les rues au vu et au su de la populace. Conformément à l’opinion généralisée, il était notoire que les dégénérés vivaient de nuit et que les gens ayant vertu s’affairaient de jour. Foutaises! pensa-t-elle en se souvenant qui faisait partie de sa clientèle régulière. Qui plus est, un nouveau venu avait fait son entrée, librement, sans entraves. Par son habillement, il y avait nul doute pour elle qu’il représentait celui qui avait été mandaté pour statuer de leur sort, qui leur donnerait absolution ou correction. Elle tenta de jauger le sourire du médecin; recelait-il bonté ou méchanceté? L’état d’inquiétude dans lequel elle pataugeait depuis des heures ne lui permettait point de conclure sur un verdict clair.
Elle le saurait bien assez vite, puisqu’elle s’avéra la première appelée. Quoique surprise, elle estima qu’il en était ainsi pour que la chronologie d’arrivée soit respectée, et non parce que son état le souscrivait. D’ailleurs, un bon nombre de ses compagnons d’infortune semblaient être plus poqués qu’elle. Restreinte dans ses déplacements, d’un pas lent, elle suivit l’individu vers une petite salle attenante à la pièce où ceux de son rang avaient été volontairement parqués tout au long de la nuit par les deux policiers.
Effondrée sur une vieille chaise en passe de se déboîter, elle fixait avec une appréhension non dissimulée l’homme qui se trouvait devant elle, tout en se demandant si c’était bel et bien la personne qui la délivrait finalement des deux paires de menottes qui la maintenaient captive depuis plusieurs heures. Cependant, elle n’osa lui adresser la parole, honteuse qu’il lui fût précédemment révélé ses occupations nocturnes. S’épongeant le front de la manche gauche de son sarrau à la blancheur douteuse, à grosses gouttes suait sans arrêt l’individu. La moiteur inhérente à la région tropicale aurait dû s’avérer la cause principale de ce désagrément, mais le boulot qu’il effectuait présentement était à l’évidence ce qui le taraudait. Ce n’était pas l’ampleur physique de la tache qui l’accablait, quasi inexistante, mais les remords qu’il éprouvait d’avance. Par la flagrante absence d’éthique associée à l’étude, son gouvernement l’avait mis dans une position contraire au serment d’Hippocrate qu’il avait prononcé il y avait de cela bien des années dans son Massachusetts natal. Ce manquement à son devoir l’agaçait profondément et il était persuadé que même les cobayes qu’il devait traiter pouvaient ressentir sa rancoeur. L'actuelle journée ne faisait pas exception à la règle. Malaisé, il tenta de reporter son attention sur la première cliente de ce jeune matin. Assise devant lui, cette dernière avait plus que mauvaise mine. Peau cuivrée et crevassée, nul doute que des galeries évidées s’étaient insidieusement creusés en son âme; qu’elle n’attendait qu’un prochain éboulis pour colmater dans l’oubli des pans de son passé, sinon du présent et s’il s’en faut, du peu d’avenir auquel elle se croyait destiné. À voir les cernes qui grevaient son visage, le docteur conclut qu’elle n’avait pas dû fermer l’œil de la nuit, sinon pour feindre orgasme aux désespérés qui s’étaient procuré ses charmes en échange de ce qu’elle jugeait être trop peu de billets de banque. Il se résigna à tenter de ne pas la juger, mais la déglingue de la jeune femme ne lui en laissait guère le choix.
Contre sa volonté, quoique cet état de fait n’était-il pas là le lot quotidien de l’ensemble de ses actions et décisions, elle adhérerait bientôt à ce groupe sélect de statistiques à venir, comme tous les parias que le médecin avait rencontrés jusqu’à maintenant : prisonniers, orphelins, pauvres et autres individus sans réelles dénominations. Comme tous ceux qu’il soignerait dans le futur. Pour le gouvernement américain qui l’employait, ceux-ci ne valaient guère mieux que rien. D’ailleurs, leur dossier médical n’était affublé que d’un numéro accolé aux photographies de leur tête et de leurs parties intimes. Avec remords, l’homme prit la seringue et l’enfonça sans délicatesse dans l’épaule gauche de la femme, celle dont la main était la plus solidement menottée, facilité oblige, en lui baragouinant un semblant d’espagnol concernant les supposés bienfaits du traitement. Elle n’y comprit du reste absolument rien.
Si ça se trouve, elle a probablement déjà la syphilis, pensa le docteur en injectant le mélange contenant les bactéries responsables de cette maladie. La grosse vérole comme l’exprime le petit peuple. Dire qu’ils sont infectés à leur insu… encore pire; qu’ils se figurent qu’on les guérit de quelque chose en les piquant. S’imaginent-ils que cela les aidera à sortir de la misère dans laquelle ils sont englués? Ils en seraient abasourdis s’ils apprenaient que la dose est cent fois supérieure à celle qui peut être contractée lors d’un contact sexuel avec un porteur!
Dans quelques semaines, afin d’en vérifier l’efficacité, il reverrait personnellement la majorité de ses infortunés patients pour leur prodiguer en douce un nouveau médicament appelé pénicilline. La plupart reviendraient sous les bons soins des policiers qui iraient les chercher, photographies en mains; peu le feraient volontairement. D’aucuns ne seraient jamais de retour. Mais d’ici là, ceux que cette pauvre indigente contaminerait lors de son ingrat travail n’auraient assurément pas la chance de recevoir ce traitement révolutionnaire! Idem pour les conjointes de ces futurs clients!
Beaucoup souffriraient des lésions associées aux hideux chancres de cette maladie honteuse, de cette maudite syphilis. Ceux qui seraient infectés à leur insu lors de contacts sexuels ainsi que les présents cobayes qui ne ressurgiraient pas à la clinique pour bénéficier de l’antibiotique n’en seraient jamais guéris. Puisque les autorités souhaitaient vérifier l’efficacité du médicament, une possible contagion s’avérait le cadet de leur souci. Nul doute qu’ils pâtiraient tous de problèmes neurologiques d’ici quelques années, et cela, sans se douter que cela n’était nullement de leur faute, ni dû à un mauvais coup du hasard imputable à la nature. Quelques-uns en subiraient les graves conséquences jusqu’à en trouver mort.
70
-- Je ne peux pas faire des analyses à partir de dépouilles! s’offusqua Gisèle Tremblay.
-- Calmez-vous! Calmez-vous! répliqua Lucien Grenier.
-- Ce n’est pas facile!
-- Quelles sont les raisons invoquées pour ce refus?
-- On me reproche la douzaine de mortalités qui sont survenues suite à mon conseil de lever l’interdit de consommation d’eau! s’emporta la jeune femme à la tignasse rousse. Pourtant, l’eau était potable à ce moment-là! Cela a pris quelques jours avant qu’une deuxième hécatombe ne fasse irruption.
-- Je comprends.
-- Ils ne veulent même pas les confier à quelqu’un d’autre. Pourtant, des autopsies devraient être effectuées au plus vite!
-- C’est de la peur sans discernement, accentus Lucien Grenier alors que la jeune femme soupirait.
-- Je veux laver ma réputation.
-- N’utilisez pas l’eau de l’aqueduc municipal pour le faire.
-- Inspecteur, cette blague est de mauvais goût.
-- Probablement pas autant que celle du puits.
-- Ce n’est pas drôle, rappelez-vous que vingt personnes sont décédées suite aux deux épisodes.
-- Sans compter la dame retrouvée dans l’habit de motoneige.
-- Tant qu’on me refusera l’accès aux corps, nous ne pourrons déterminer si les trépas sont reliés aux mêmes événements.
-- Vos chances s’amenuisent de jour en jour puisque les embaumeurs auront tôt fait de les rendre irrécupérables.
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Bonsoir Monsieur Dionne,
Je viens de prendre connaissance de votre demande et vous soumets ma candidature pour la révision de votre roman de 460 pages.
Je suis auto-entrepreneur dans le sud de la France (TVA non applicable). Mon niveau "Expert" en orthographe (score 966/1000) à la certification Voltaire et mon partenariat de longue date avec 3 maisons d'édition vous assurent une correction irréprochable.
Pour discuter plus avant de votre projet, je vous invite à me contacter directement sur mon mail : info@passion-correction.com.
Bien cordialement,
Marie-Claude Casanova
» par Passion-Correction
Bonsoir,
Je me permets de vous adresser ce message suite à votre demande pour une tâche de correction/ relecture.
J'ai étudié la traduction à l'université et parmi les compétences acquises, il me fallait être intransigeante avec les règles d'écriture, d'orthographe et de grammaire. Appliquée tant dans mes écrits que mes relectures, je suis en création d'entreprise afin d'être écrivain public reconnue. Bien que j'ai de très bonnes connaissances à l'exercice de ce métier (ayant par le passé eu des postes similaires), je prends en considération le fait qu'il nous faut à tous deux trouver un avantage à cette tâche. Je souhaite avoir l'opportunité d'effectuer vos travaux de correction relecture à une oeuvre qui me semble très intéressante et constructive à mon évolution professionnelle. Je présume également que pour un roman comportant un gros volume de pages, la nécessite pour vous est d'obtenir un tarif qui reste raisonnable. Je vous propose de nous entretenir en premier lieu par e-mail afin que nous échangions nos coordonnées téléphoniques et que nous puissions discuter plus amplement de vos attentes en matière de révision du roman.
Dans l'attente de vous lire,
Cordialement,
Mlle le gauyer amandine
A L'AUBE DES MOTS
» par LE GAUYER
Bonsoir,
Je prends connaissance tardivement de votre annonce, et peut-être avez-vous déjà trouvé votre bonheur...
Si ce n'était pas encore le cas, n'hésitez pas à me contacter, par mail ou par téléphone, et à consulter mon site Internet, qui vous permettra de comprendre les grandes lignes de mon parcours et ma méthode de travail.
Correctrice professionnelle, je suis disponible et reste à votre écoute, pour entre autres, si vous le souhaitiez, réaliser gracieusement un test de relecture sur quelques lignes de votre roman.
À bientôt peut-être,
Cordialement.
Sophie
http://www.infrapage.com
sp.infrapage@gmail.com
» par Sophie
Bonjour,
Traductrice-relectrice et auteur, je viens vous proposer mes services pour la révision de votre roman. J'ai suivi une formation au métier de correcteur auprès du Centre d'écriture et de communication et dispose donc d'une parfaite maîtrise de la langue française dans toutes ces subtilités : orthographe, grammaire et conjugaison bien sûr, mais aussi syntaxe, ponctuation, typographie et techniques de réécriture.
J'ai par la suite eu l'occasion de collaborer à maintes reprises avec des auteurs indépendants pour les aider à retravailler leurs écrits. Je privilégie un rapport de confiance en m'efforçant à chaque fois de m'adapter aux attentes de la personne : certains désirent un simple travail "de forme" pour corriger d'éventuelles erreurs, d'autres sont ouverts à plus de suggestions sur les formulations, voire le fond du roman aussi bien que la forme, afin de tirer leur texte jusqu'au maximum de son potentiel. Au-delà de la prestation effectuée, c'est une relation de travail qui se construit à deux.
Si vous êtes intéressé par mes services, je vous invite à me contacter par mail pour en discuter davantage : contact@guillemette-allard-bares.eu. Vous pouvez aussi vous faire une meilleure idée de mon profil en consultant mon site Web https://www.guillemette-allard-bares.eu.
Cordialement,
Guillemette Allard-Bares
» par Guillemette Allard-Bares
Correctrice indépendante et fondatrice d'Orthoboost, j'ai obtenu un score de 970/1000 (niveau Expert) au Certificat Voltaire et suivi une formation de formateur en orthographe et grammaire délivrée par le Projet Voltaire.
Je vous propose mes services pour une correction complète de votre document : orthographe, grammaire, syntaxe, coquilles, ponctuation, typographie élémentaire, fautes de sens et réécriture de certaines phrases si besoin.
Tarif particulier/professionnel : à partir de 0,85 € les 100 mots
Vous pouvez me contacter à contact@orthoboost.fr pour obtenir un devis ou consulter mon site Web www.orthoboost.fr.
Cordialement,
Manon Le Coutour
» par Orthoboost
Bonjour,
Je suis correctrice professionnelle et vous propose mes services pour la relecture de votre roman qui a su m'interpeler tant du point de vue du style que de l'humour peu courant mais si délectable pour les amoureux des mots.
Mes tarifs sont de 9 € les 1000 mots pour une correction simple et sont disponible sur mon site.
Je suis à votre entière disposition pour tout renseignement complémentaire.
Au plaisir de vous lire.
Agnès
agnes.suchet@laposte.net
corrigetout.com
» par Agnès
Bonjour Monsieur Dionne,
Rédactrice et correctrice certifiée, je vous propose mes services pour la révision de votre roman.
Il semble très bien écrit et la révision permettra d'en ôter les dernières imperfections. Je vous invite à vous rendre sur mon site, vous pourrez y voir les prestations que je propose ainsi que les tarifs appliqués.
Le choix d'un correcteur peut se révéler difficile. Je vous propose de corriger gratuitement quelques pages de vos travaux afin que vous voyiez si ma façon de travailler vous convient.
N'hésitez pas à me contacter si vous souhaitez davantage de renseignements.
Dans l'attente, je vous souhaite une très belle journée.
Fanny Bernardi
www.cabinet-focus.fr
» par fanny
Bonjour,
Je suis lectrice correctrice indépendante et intéressée par votre projet.
Je peux faire une lecture critique de votre manuscrit, vous faire une fiche de lecture détaillant ce que j'ai aimé ou non. Et peut être vous donner quelques petits conseils.
Je suis sérieuse et appliquée. Je corrige l'orthographe, la syntaxe, la grammaire ...
Mon tarif est de 1,50€ par page. Je suis auto entrepreneur, un travail sérieux est assuré.
Je prendrai grand soin de respecter votre pensée et votre travail, dans une grande discrétion.
Voici l'adresse de mon site professionnel : eruditoremludio.over-blog.com
Mon adresse mail : stephaniethibaux6@gmail.com
Cordialement,
Mme Fornieles Stéphanie.
» par Fornieles
Bonjour,
Je suis correctrice professionnelle et vous propose mes services pour la relecture de votre roman qui a su m'interpeler tant du point de vue du style que de l'humour peu courant mais si délectable pour les amoureux des mots.
Mes tarifs sont de 9 € les 1000 mots pour une correction simple et sont disponible sur mon site.
Je suis à votre entière disposition pour tout renseignement complémentaire.
Au plaisir de vous lire.
Agnès
agnes.suchet@laposte.net
corrigetout.com
» par Agnès
bonjour
votre texte semble bien fait, sur 94 phrases ou 1835 mots si vous préférez, on relève 27 erreurs, 33 alertes et aucune ambiguïté.Il ne demandera pas beaucoup d'efforts donc pas un gros budget non plus !
je pourrai faire ce travail, on discutera des tarifs si vous le souhaitez! contactez moi sur mon mail samia67arhab@gmail.com
» par clair de lune
re bonjour
désolée pour le diagnostique de votre travail, j'ai transmis celui concernant un autre document, en voici le votre :
sur 104 phrases, 2076 mots, on a 28 erreurs, et aucune ambigüité.
contactez moi sur mon mail samia67arhab@gmail.com pour une éventuelle collaboration si mon offre vous parle.
» par clair de lune
Bonjour,
Je vous propose mes services en tant que rédactrice, relectrice,correctrice professionnelle, je suis auteur et interviens aussi en tant que ghost writer.
J'agis selon la demande, sur de la correction basique, syntaxique, et bien entendu,de la reformulation, si cela est souhaité et je suis en mesure d' apporter des conseils rédactionnels et stylistiques.
Nous pourrions établir un 1er contact afin que je puisse envisager une collaboration personnalisée au plus juste de vos attentes et vous soumettre un avis sur cet extrait.J'assure un travail précis, efficace, professionnel, en garantissant la confidentialité du texte soumis. Je me tiens à votre disposition pour tout autre renseignement. Vous pouvez me joindre si vous le désirez à cette adresse mail:
chaze.cecile.30@gmail.com
Cordialement
Cécile Chaze
» par chaze
Bonjour
Je me joints à cette longue liste en espérant que vous n'ayez pas encore fait votre choix.
J'ai suivi un cursus littéraire et obtenu la certification Voltaire. Je maîtrise correctement la langue française et je suis une passionnée de littérature.
Je fais de la correction par amour de la langue française. C'est pourquoi mes tarifs sont très abordables.
Pour de plus amples renseignements, vous pouvez me joindre à cette adresse mail : mathilde.verdin@laposte.net
Cordialement
Mathilde Verdin
» par verdin
Bonjour,
je réponds à votre annonce avec retard. Si toutefois vous n'avez pas trouvé la personne correspondant à votre souhait, je suis à votre disposition. Journaliste durant trente ans, auteur (publié), auto-entrepreneur pour divers travaux d'écriture (et, par-dessus tout, amoureux fou de la langue française !), j'ai récemment corrigé, entre autres, le manuscrit d'un polar et d'un vaste recueil de poésie. Mes tarifs, très modestes, devraient vous satisfaire.
Pour me joindre : touraine.p@yahoo.com
Bien cordialement
Ph.B
» par Gary
Bonjour Monsieur
Correctrice-rédactrice formée par le centre CEC (Centre d’Écriture et de Communication, Paris) et ayant obtenu le niveau "Expert" à la Certification Voltaire, je vous propose à mon tour ma candidature pour ce travail, au tarif d'1.70 € par page (en Times 12, interligne 1.5), ou 0.8 € pour 1000 caractères.
Afin de vous donner une idée de ma manière de travailler, veuillez trouver ci-dessous les premiers paragraphes de votre prologue, par ailleurs très bien écrit, avec mes modifications, remarques et propositions entre crochets. À noter la petite erreur typographique qui revient plusieurs fois : l'oubli de l'espace avant le point-virgule (nécessaire, comme devant les deux points).
N'hésitez pas à me contacter pour tout renseignement supplémentaire :
Estelle Mazodier
estellemazodier@yahoo.fr - 06 28 35 85 67
http://malamaplume.blogspot.fr/
Prologue
Après l’avoir ramassée aux abords du boisé où elle tenait labeur d’être labourée [je suppose que c'est un jeu de mots, cela peut donc être conservé même si cette formulation est assez inattendue], les deux policiers l’avaient traînée de force à l’hôpital. Pourtant, rien ne justifiait cette précipitation, car hormis au niveau de son orgueil, elle n’était nullement blessée [formulation un peu lourde, je dirais : "car seul son orgueil était blessé"].
Elle avait timidement amorcé son plaidoyer en arguant qu’ils n’avaient aucune preuve de ce qu’ils avançaient, qu’ils devaient immédiatement la relâcher, qu’ils n’avaient vraiment rien à lui reprocher. Comme seule réponse, ils l’avaient détaillée des pieds à la tête dans un mouvement qui n’avait manifestement pas été continu ni pour l’un, ni pour l’autre. Ayant remarqué leur petit manège, elle chercha à les confondre. ["]L’habit ne fait pas le moine["], avait-elle poursuivi pour essayer de s’en sortir, engoncée dans un corset qui la faisait souffrir. Ce proverbe ne réussissant qu’à provoquer l’hilarité des deux hommes et quelques commentaires grivois sur l’effet qu’elle faisait sur leur propre moine, elle avait alors décidé de mener l’attaque de front ; comprenant qu’elle correspondait à tous les critères du stéréotype qu’elle tentait de réfuter et qu’elle ne parviendrait pas à les faire changer d’avis.
Dès lors, les implorant sans relâche de lui laisser une chance, elle leur avait affirmé qu’elle était nouvelle dans ce métier, qui lui, à l’opposé, était étiqueté comme le plus vieux du monde. Elle leur spécifia qu’elle devait s’y résoudre à contrecœur [-] et à contrecorps avait-elle pensé en prononçant le mot précédent [-] puisque son mari, de mauvais gré conscrit de cette foutue Deuxième Guerre mondiale, avait récemment élu sépulture en terre étrangère. Elle osa même leur promettre qu’on ne l’y reprendrait plus. Bien qu’ils n’interrompirent pas la femme, tout ce babillage importait peu aux membres des forces de l’ordre ; ceux-ci ne faisaient qu’obéir aux strictes consignes de l’escouade des bonnes mœurs. Eux-mêmes auraient pu être accusés de contrevenir aux règles s’ils n’avaient pas ramené cette fille à la cuisse légère.
Cette manière d’opérer l’avait grandement surprise puisqu’elle n’avait jamais entendu parler d’eux auparavant ; pourtant, entre cons[œ]urs, on avait l’habitude de se prévenir, autant des abus de certains clients que de la venue des autorités. Elle se résigna à ne pas tenir rigueur aux autres paumées de la nuit après que le plus jeune rouage du duo lui eut révélé qu’elle était la première prise de leur nouveau quart de travail. Elle comprit qu’elle-même ne pourrait sonner l’alerte d’ici, dans le meilleur des cas, demain soir. La destination lui parut cependant étrange, mais valait mieux l’hôpital que le poste de police, à moins que cette première ne fût qu’une escale à la deuxième.
» par Estelle Mazodier
Bonjour,
Je suis écrivain conseil et je vous propose mes services au tarif de 50€ de l'heure.
Si vous n'avez pas encore trouvé de prestataire, merci d'étudier cette offre.
Vous pouvez m'écrire à l'adresse suivante :
lavaleurhumaine@gmail.com
Nous conviendrons ensemble du montant global du travail à effectuer.
Bien à vous
Alain GUILLOT
» par GUILLOT
Bonjour,
Je vous conseille Estelle Mazodier, elle semble etre la seule a avoir pris le temps de lire votre texte, qui est parfois d'une lourdeur fatiguante. Un chat est un chat et Une p.te est une p.te, mais par pitie n'en faites pas des caisses pour une histoire qui semble banale, si vous me proposez de lire votre livre en entier, je serais malheureusement tentee de stopper ma lecture aux premieres pages tellement le style est lourd..desolee. bonne continuation, cordialement.
» par Sousou
Bonjour,
Je viens de finir de lire à l'instant votre texte, et je dois dire que j'ai passé un agréable moment. Je suis très intéressé par votre demande de correction. Féru de littérature, professeur et correcteur depuis bientôt 10 ans, je pense pouvoir effectuer ce travail pour vous. Concernant mes tarifs, ceux-ci sont très raisonnables. Pour vous faire une idée, et ce à titre indicatif, pour un travail comme le vôtre, soit 460 pages, cela tournerait à 1,15E/page. Si ma proposition vous intéresse, vous pouvez me contacter par e-mail: grego.fernandez@aliceadsl.fr. Dans l'attente d'une réponse de votre part, que celle-ci soit ou non favorable, je vous souhaite une très agréable journée.
Cordialement
Monsieur Fernandez
» par Fernandez
Bonjour, avez-vous trouvé un réviseur?
Je vous propose un tarif de 100€ tout rond pour une correction (syntaxe, orthographe, grammaire, conjugaison, ponctuation, coquilles) et propositions de remaniement de tournures si besoin.
Cécile
» par Cécile L
Bonjour, professeur des écoles en activité, je mets mon temps libre à votre service pour réaliser des travaux de saisie , relecture, correction. Je maitrise la langue française, syntaxe, orthographe, et vous garantie un travail de qualité.
Travail rapide et de qualité garanti.
Je vous propose mes services au tarif de 1€ la page (lecture, correction, modification si besoin).
Si vous êtes intéressé par mes services contactez-moi par mail.
Au plaisir de collaborer avec vous.
Cordialement, EF
» par Florence
Bonjour, avez-vous trouvé votre correcteur ou êtes-vous toujours en recherche?
Cécile
» par Cécile L
Bonjour,
Avez-vous déjà trouvé quelqu'un pour la relecture de votre roman? Si non, je vous propose mes services pour un forfait sans doute bien moindre par rapport à ce qu'on vous a déjà proposé : mon but n'est pas le profit mais de me faire un peu d'argent tout en gagnant en expérience.
Actuellement étudiant en MEEF (professorat des écoles), j'ai déjà corrigé de nombreux travaux, notamment des mémoires de fin d'études, des recherches scientifiques, des textes littéraires. J'ai obtenu un score de 731/1000 au Certificat Voltaire. J'ai également donné des cours de français pour élèves de collège et lycée; ainsi que pour des adultes venant de pays étrangers.
Si mon profil vous intéresse, et que vous ne voulez pas vous ruiner, contactez-moi par mail (bastien.brault17300@gmail.com) ou téléphone (sms ou appel) au 06.60.21.30.93
D'avance merci,
Respectueusement,
Bastien
» par Bastien
Bonjour madame,
Pour vos prochains travaux, je vous propose un petit coup de pouce.
Ancien professeur de Lettres Modernes, bac + 4, j'ai exercé 15 ans dans le secondaire. Experte de la langue française, je serais ravie de vous apporter mon aide. Minutie et rigueur me caractérisent parfaitement.
Je corrige régulièrement tout type d'écrits pour des particuliers, étudiants, stagiaires, ....
N'hésitez pas à me contacter pour préciser vos attentes, la durée du travail et discuter du tarif.
Mon courriel : sfontaine54000@gmail.com
Bien à vous, excellente journée,
Sabine
» par sabyne